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Soulignac

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Situation

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Notre commune faite de vallons et de coteaux laissant glisser sur leurs flancs un nombre impressionnant de rangs de vignes, se trouve dans le coeur de l'Entre-deux-Mers à 38 km au Sud-Est de Bordeaux, 6 km au sud de Targon, 7 km à l'est de Paillet, 10 km au nord de Cadillac et 8 km  à l'est de Langoiran.
Soulignac est délimité au nord par la commune de Targon, à l'est par Ladaux, au sud-est par Escoussans, au sud-ouest par Rions et Cardan, à l'ouest par Capian. Elle est en outre traversée par trois départementales, du nord au sud par la D122 et d'est en ouest par la D119 et D139. Les ruisseaux, le Toutigeac et l'Euille séparent la commune de Targon au nord et de Ladaux à l'est.
Dans ce paysage de collines on notera deux points culminants, chacun d'une altitude de 111 mètres et situés non loin des lieux-dits "Virecourt" et "Pingalet", le point le plus bas 39 mètres se trouve tout près d'un hameau ayant pour nom "Landonet"

histoire ancienne de la commune

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Période préhistorique : Divers outils ont été recueillis et observés des plus variés allant de l'Acheuléen ou Néolithique : galets taillés, coups de poings, burins, lames, grattoirs. Ce ne sont que des découvertes isolées mais qui témoignent du passage de l'homme préhistorique sans toutefois attester sa sédentarisation. Il est certain que le site vallonneux du Soulignacais fut peu propice à une implantation de longue durée. Les abris ou les grottes se situent près des cours d'eau bordant la commune (grotte de Haurets, commune de Ladaux, découverte par l'abbé Labrie).
Période gallo-romaine : En 1920, découverte d'une première tombe fouillée par l'Abbé Labrie, puis au lieu-dit Quey-Hourc (Barthalot nord) d'un trésor monétaire, par M. Jean SEINSEVIN, propriétaire du lieu. En 1980, la fouille de sauvetage d'une tombe gallo-romaine dans le hameau de Lusseau. Depuis de nombreuses prospections sur le terrain ont apporté de nouveaux éléments (aux quatre chemins près de la Joussière et au Presbytère), il a été constaté que Soulignac n'est pas plus pauvre en vestiges gallo-romains que les autres communes avoisinantes. Il faut aussi noter que Soulignac est un dérivé de Solintiac, c'est à dire le domaine de Solinios ou Solemnius.

la place de l'étoile ou la naissance d'une "STAR"

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Bien des années se sont écoulées, laissant derrière nous le souvenir de cette belle journée de septembre à Soulignac au cours de laquelle fut dévoilé le nom d'une des plus prestigieuses artères du monde "la place de l'étoile", au coeur de Paris.

Le temps passe vite certes, mais laisse malgré tout presque intact les souvenirs d'une époque où les fêtes locales donnaient lieu à des manifestations remarquables à tous les points de vue. Bien sûr, les moyens de transport étaient très réduits ; quelques rares voitures, surtout des bicyclettes et des jambes de vingt-trois ans. Pouquoi parcourir des kilomètres superflus alors que la fête du village vous ouvrait grand les bras, que l'on était assuré de bien s'y amuser et de retrouver la famille, les bons amis, les copains toujours complices pour faire des farces. Et puis il n'y avait pas que le jour même de la festivité, tout cela se préparait longtemps avant, on en parlait, on bâtissait des projets, tantôt sérieux, tantôt farfelus, selon l'humeur des instigateurs ; et c'est justement un de ces projets "sérieux" qui, en 1947 permit de baptiser à Soulignac "la place de l'étoile".

L'idée se fit jour dans  la tête de deux étudiants, Pierre LAVILLE et son frère Norbert. Il fallait pour la fin de l'année scolaire organiser un petit chahut estudiantin : vous savez, ce genre de petite chose qui amusait les badauds et se passait très calmement, les grenades lacrymogènes ne faisant pas partie de la cérémonie. Mais Norbert avait cette fois décidé de rejoindre l'utile à l'agréable. Après mûre réflexion, il décida avec ses collègues parisiens "d'emprunter" à la capitale un objet dont le "nom" trouverait une juste place à Soulignac, leur village d'accueil durant les vacances scolaires. Quel bon moment ce fut le jour de la fête quand la plaque se trouva dévoilée, quelle joie et quelle surprise pour l'assistance.

l'eglise de soulignac

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L'église placée au sommet d'un léger monticule se présente au milieu du village avec une incontestable majesté. Les tombes du cimetière se sont blotties contre ses murs et les maisons de la petite bourgade se sont rassemblées autour d'elle comme les poussins autour de la mère poule.
Avec ses dimensions élevées et le caractère monumental de son clocher-arcade et de ses trois nefs, cette église, pourtant petite, constitue un haut-lieu où la terre semble rejoindre le ciel. L'on n'est pas insensible au choix du site qui a été fait par ceux qui ont planté l'église à cet endroit.

le temps des moulins

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Le moulin de Grand-Jean fu t construit par Pierre Claveau, qui devint propriétaire du "Tarrey de Grand-Jean" en 1769 par un échange fait avec Fadrin de Soulignac.

Cette construction dura plusieurs années, Pierre Claveau en assura le financement : 1 500 livres.

Un autre moulin existait de l'autre côté de la route, appelé le moulin de Dulon. Dans la famille, ils étaient meunier et boulanger à la fois.

La construction a sans doute était réalisée au XVIIIe siècle, car on retrouve une facture de réparation en 1831. Puis ce moulin fut démoli à la fin du XIXe siècle, et la pierre servit à construire un chai, en prolongement de la maison.

Ces moulins à vent , plantées sur les collines, n'étaient pas seul à "moudre". Les moulins à eau sur les ruisseaux entretenus, assuraient les meuniers de pouvoir travailler toute l'année.

Adresse : 2 Place de l'Etoile 33760 SOULIGNAC

Téléphone : 05.56.23.92.12

Fax : 05.56.23.41.05

E-mail : mairie.soulignac@wanadoo.fr

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